L'intérieur Saintongeaistraditionnel. |
Ci
dessus le musée de LA TOUR de BIRAC qui n'existe plus.
Descriptif de l'intérieur paysan selon le décor de la pièce "La mérine à NASTASIE" publiée en 1902 en langue Saintongeaises s'il vous plaît! On voet ine grande pièce, ol é la thieusine de Cadet Bitounâ. Les mur avant été bianchit à la chaux ; ol é prop’ coume in sou. Dan le fond, au mitant, ine porte à deux battant. Sus ine pianche, au dessus de thielle porte, troé chaurdron t’rleuzant, à couté de thieuque pot de greisse, de graton, de raisiné et de ghigourit; des trochée de boudin, de saucisse et d’andouillette pend’llant, encruché à thielle pianche. A main gauche, in lit à queneuille avec ses bâlin d’alentour ; au pied dau lit, in vieux fonteuil, ine demi-dozaine de cheise, in travouil garnit de soun écheviâ de laine bianche; à la teite dau lit, in bénitié et in ramiâ bénit. Entre le lit et la porte, ine pendule dan son boétié. De contre thieu boétié de pendule, ine queneuille avec sa filasse, son fusa et sa tie. De l’autre coûté, à main dreite, in vaiss’yer; sus ses étaghère, deux dozaine de veille-z-assiette toute mirolée. De thieu meime coûté, o y at encoère ine grande cheminée. Sus thielie cheminée, sous in giobe, in chap’ron de mariée ; n’on z-y voet otout bein aligné, des moque et des verre gagné à la loterie peur les assembiée. Deux grou landié de far sont dan le foughé, ine marmite é-t-à la crémayère; ine chaufette et in vieux buffâ qu’at la bazane creusée, sont dan in coin, in câlin dan l’autre. Ine yoube avec sa chandelle de rouzine é piquée en dedan de la cheminée voure on at mit à gralé : deux biâ jhambon, en meime temps qu’in chap’let de pied de potiron quo la thieusinière consarve peur mettre en ses sauce. In vieux fusil à piarre é-t-encruché à la cheminée au d’bas d’in biâ cadre en noughé voure on voet le portrait de l’Empereur Napoléon troé avec l’Impératrice Ughénie et le petit Prince. Sus ine veille tab’ à tirette qu’é-t-au biâ mitant de la place, o yat in potet, des moque, in mourçâ de pain routit, des cala et, envioppé dan ine sarviette, in grou chanta de pain. Sous la tab’, dan ine jhède, o se trout des monjhette et, dan in bassiot, des patate et des naviâ peur feire la beurnée aux naurrîn. Au pianche on at encruché ine pèle et, de contre, o pendille : ine coie, in grand boul’llon à ramelle, ine paire de soulié, ine brassée de foughère p’r attrapé les mouche et les deux épaulette de Cadet qui at fait son temps dan la c’valerie. Canette, bue, cassotte, essujhe-main, balai, excétérâ... |
Le paysan vivait dans une pièce unique Les murs étaient blanchis à la chaux La porte sur la rue était pleine et ici à deux battants. Sur une planche, au dessus de cette porte: trois chaudrons en cuivre bien reluisants , à coté de quelques pots de graisse, de graton (rillettes charentaise avec des morceaux plus gros que celle du MANS), de raisiné (confiture de raisins) et de ghigourit (Civet ou ragoût de gibier ou de cochon.) des trochées (grappes) de boudin, des saucisses et des andouillettes pendent, accrochés à cette planche. A main gauche, un lit à quenouille avec son baldaquin; au pied du lit, un vieux fauteuil, une demi-douzaine de chaises, un travail garnit de son échevin de laine blanche; à la tête du lit, un bénitier et un rameau bénit. Entre le lit et la porte, une pendule dans son boîtier. Contre ce boîtier de pendule, une quenouille avec sa filasse, son fuseau et sa tie. De l'autre coté, à main droite, un vaisselier; sur ses étagères, deux douzaine de veilles assiettes toutes craquelées. De ce même coté, il y a encore une grande cheminée. Sur cette cheminée, sous in globe, un chaperon de mariée (bouquet porte bonheur) ; l’on y voit aussi bien alignés, des moques(Gobelet à anse en terre cuite qu'on mettait autrefois devant le feu pour réchauffer la nourriture ou le liquide qui s'y trouvait _parfois du vin_) et des verres gagnés à la loterie lors des foires. Deux gros landiers de fer sont dans le foyer, une marmite est à la crémaillère, une chaufferette et un vieux buffet qui a le ventre creusé, sont dans un coin, in câlin dans l’autre (l'un contre l'autre). Une yoube (Sorte de pince servant à couper les mèches des chandelles) avec sa chandelle de résine est piquée en dedans de la cheminée ou l' on a mis à griller : deux beaux jambons, en même temps qu’un chapelet de pieds de potirons que la cuisinière conserve peur mettre dans ses sauces. Un vieux fusil à pierre est accroché à la cheminée au bas d’un beau cadre en noyer ou l'on voit le portrait de l’Empereur Napoléon III avec l’Impératrice Eugénie et le petit Prince. Sur une veille table à tirettes qui est au beau milieu pièce, il y a un pot, des moques (sorte de mazagrans), un morceau de pain roustit (grillé), des chapeaux et, enveloppé dans une serviette,in gros morceau de pain. Sous la table, dans une jarre, il y a des mojhettes (haricots secs) et, dans un panier, des patates et des navets pour faire la "beurnée aux nourrîns".(la pâtée des cochons) Aux planches on a accroché une pelle et, a coté , qui pend : une croix, un panier à anse, une paire de souliers, une brassée de fougères pour attraper les mouches et les deux épaulette de Cadet qui a fait son service militaire dans la cavalerie. Canette (seau en bois pour tirer l'eau du puits), bue (cruche en terre cuite pour tenir l'eau au frais), cassotte, essuie-main, balai, excétérâ... |
Dans la pièce unique:
la pierre d'évier "aiguière" qui traverse le mur sous l'oeil de boeuf.
Sous la fenêtre il y
avait
toujours
cet évier en pierre avec côté (gauche chez ma grand-mère) une pierre pour poser
le seau avec sa "cassotte" en bois ou en fer;
la
"cassotte" est l'ancêtre du
robinet économiseur d'eau, |
On
y voit le matériel de la cuisine dans l'âtre: un
support de marmite
suspendu, le chaudron pour chauffer l'eau qui est pendu
à la
crémaillère, des
trépieds, un grill, un potager à braise en fonte,
une petite marmite en
fonte tripode, un diable en terre cuite ( tout neuf) près d'une
dame-jeanne dans sa protection en paille (elle n'a pas sa place ici car
elle sert à contenir le cognac), sous le panier on voit une chaufferette... |
Les cheminées des
cuisines ont cette forme, en plus ou moins grand, mais les
proportions seront respectées, plus elle est grande plus elle est ancienne. Celle ci-dessus se trouve dans une maison près de PONS. On cuisinait dans l'âtre jusqu'aux années 1950 dans la plupart des foyers modestes. Le fond de l'âtre recevait une plaque dite de "cheminée" en fonte pour éviter aux pierres et briques d'éclater par l'exposition aux flammes. |
La
cheminée
Saintongeaises est plutôt sobre, surtout celles des cuisines. Le sol était en terre battue jusqu'au XIX e dans les campagnes. Lorsqu'il était carrelé c'était avec des carreaux de forme carrée de 16x16 (cm) assez épais ou hexagonal de 16x17 dans des tons naturels ocre- rouge au XIX ème (puis avec des carreaux de 20x20 plutôt rouges uni et peu épais) posés sur sable sans joints apparents. La partie réservée à la chambre a quelquefois un plancher au lieu de carrelage dans la pièce unique. |
Le "potager" Il est presque toujours près près de la cheminée, c'est l'ancêtre de la cuisinière, dans lequel on place des braises pour faire mijoter des soupes ou potées ou daubes dans des poteries qui vont au feu. On dose la quantité de braises pour la durée voulue de cuisson, et pendant que ça mijote, on peut vaquer à d'autres occupations.Fin XIXe ces potagers sont agrémentés de décors en carreaux de faïence ou remplacés par des potagers en fonte qui se placent dans la cheminée même. Le "potager" est aussi en usage dans les châteaux comme en témoigne la photo prise au château de PANLOY ci-dessous: La "vaisselle" La vaisselle était en terre cuite et comprenait des "diables" pour cuire sur les braises les pommes-de-terre et les châtaignes ou des légumes à l'étouffe, des "daubières", des marmites dites "câlins" et des pots à anses pour servir les boissons, des pots vernissés à l'intérieur pour conserver les graisses ou des salaisons, des pots à grattons ... des bouteilles pour l'huile, des bouillottes....des plats pour servir et des assiettes.En Saintonge la région de LA CHAPELLE des POTS étaient un grand centre de fabrication. Des pièces beaucoup plus volumineuses: les "bujours" pour faire la lessive étaient fabriqués dans le village des bugeoliers près de Saint Césaire. Quelques récipients étaient en bois cerclés comme les "seilles" pour puiser l'eau. |
La
maie ou le pétrin étaient toujours dans la
cuisine, la souillarde ou la pièce unique. La maie est un coffre rectangulaire à pieds cambrés ou tournés avec un couvercle, on y plaçait le pain fabriqué ou acheté pour la semaine. Le pétrin à la forme d'une auge trapézoïdale, supporté par un piètement droit complété éventuellement avec barre et traverse car il pouvait servir de table de travail. On y préparait la pâte à pain et ensuite on y plaçait les pains cuits qui à l'époque se conservaient bien durant une semaine. |
Dans la
cheminée l'on cuisine en accrochant les chaudrons
à la crémaillère ( l'eau chaude est
produite ainsi) ou en
posant les marmites sur des trépieds. Pour faire tenir la poêle à longue queue on accroche une ficelle entre son extrémité et le tablier de la cheminée que l'on voit partiellement ci-dessus! |
La
maîtresse de maison dispose pour cuisiner à
l'âtre de grils_ certains
permettent de récolter le jus de cuisson_ de
poêles de diverses
dimensions (celles à longue queue pour le boudin, les
omelettes...) ,
d'un chaudron suspendu à la
crémaillère pour l'eau chaude pour la
toilette et la vaisselle, de chaudrons ou marmites en fonte
avec
couvercle pour les soupes et plats mouillés, d'un diable
pour faire les
châtaignes ou pommes de terre dans la braise, de
récipients plus petits
pour réchauffer ou cuire à feu doux sur le
potager, de trépieds pour
aller sur la braise et supporter des marmites ..avant de la
placer
ensuite sur le potager. Il n'y a pas de tourne broches sauf chez les bourgeois et châtelains. Il y a toujours le soufflet indispensable pour accélérer la chauffe ou le redémarrer à partir des braises que l'on a enfouit sous des cendres. Il y a une pince pour déplacer les bûches et une pelle pour prendre des braises que l'on placera dans le potager. Dans le four à pain on fera aussi des plats cuisinés dans des plats émaillés tels que l'agneau à pâques ou des gorailles. Les poulets et lapins ainsi que les poissons sont généralement cuisinés en sauce dans les marmites ou daubières, à feu doux sur le potager. |
Le MOBILIER
Le lit à
quenouille
pour les parents et le vaisselier
constituaient avec le cabinet et la maie le mobilier typique de la
pièce
unique que chaque famille rurale se faisait un devoir de posséder. Les enfants dormaient dans des lits plus rustiques à rouleaux ou l'on dort à plusieurs et souvent tête bêche à quatre ! Les bébés avaient des berceaux en bois. On ne place jamais les lits en position perpendiculaire (en croix) car cela porte malheur ! |
Dans la
pièce unique on trouve presque toujours le lit des
parents souvent à "quenouilles" ou "bateau " avec
un dais de la surface du lit,
les lits des enfants et bien entendu un vaisselier en
bois
fruitier, doté
si possible de ferrures en fer
découpées très
décoratives. Des meubles marquetés (en frêne et/ou en bois exotiques ), ou bien comportant des panneaux en loupe, seront un signe d'aisance tandis qu'une sculpture ou une incrustation indiquera la religion de la famille. L'armoire ou le vaisselier sont souvent des meubles offerts à l'occasion du mariage de la femme, ils montrent alors une corbeille de fleurs, ou une soupière. La farine (ou le pain) était conservé dans le pétrin ou bien dans une maie ou un coffre pour une à deux semaines, en attendant la prochaine fournée ( ou à partir du XIXe, le passage du boulanger). Les chaises et fauteuils sont rares dans les fermes avant la fin du XX e siècle, l'on y trouve plutôt des coffres en bois et des bancs ou des tabourets. La table est rectangulaire souvent "à barre" ce qui permet d'y poser ses pieds. |
La
fameuse table à tirette ou "table-huche" qui permet de se
servir
sans avoir à déplacer la chaise ! Connue également en Vendée et en Poitou cette table était souvent placée sous un râtelier suspendu au plafond pouvant recevoir des cuillères et des objets légers allant sur la table. Les hommes mangeaient assis sur des bancs tandis que la femme restait debout à servir son homme et les domestiques s'il y en avaient. |
Le soupirant d'une
fille de la maison ne pouvait s'y asseoir qu'avec le consentement du chef de famille; |
Les
enfants dès qu'ils tiennent debout, sont mis
dans une "
coulisse"
...(va et vient) ou bien un "vironou"
(tourniquet); ainsi ils ne sont pas dans les jupons de leur mère et celle-ci peut s'occuper sans entraves... et aider aux taches qui lui sont dévolues comme nourrir les bestiaux ou traire. |
L'on
plaçait sur le
vaisselier les plus belles pièces de la vaisselle. Le vaisselier saintongeais est fait de bois fruitiers aux couleurs chatoyantes avec des ferrures géométriques en fer très décoratives, sur les tiroirs et les deux portes du corps du bas. La traverse du bas ainsi que le devant de la corniche sont presque toujours travaillés, soit avec des sculptures soit le plus souvent en marqueterie. Le dormant entre les deux porte est aussi décoré. Dans les régions des marais doux, l'utilisation de loupe d'orme était fréquente dans les panneaux. |
Le
linge de la famille sera dans un cabinet,
à une ou deux portes soulignées d'un tiroir aux
ferrures
en fer décoratives avec marqueterie en haut et en bas.
C'est le " cabinet " de la grand-mère, vous vous souvenez celui sur lequel on danse... Il est en bois de hêtre ou de cerisier (merisier) quelquefois des panneaux en loupes d'ormes. On en trouve aussi en noyer. Il y a relativement peu de commodes, sauf dans les intérieurs bourgeois. L'horloge comtoise, dont la fabrication était étrangère à la Saintonge n'était pas rare dans les foyers même modestes, la caisse était le plus souvent peinte avec un balancier et un cadran de cuivre jaune estampés. |
Le tiroir unique
situé en bas caractérise le
cabinet saintongeais. Il est généralement marqueté . La soupière ou la corbeille indiquent qu'il s'agit d'un meuble de mariage. |
L'on
retrouve en saintonge _dans l'habitat et le mobilier_ l'influence
vendéenne. Les vendéens sont arrivés notamment après la fuite des protestants suite aux persécutions après la révocation de l'édit de Nantes (1685) puis plus tard pour reprendre des propriétés de viticulteurs ruinés par le phylloxera vers 1880 et les transformer en terre de pâturages. |
L'appartenance
religieuse est incrustée dans le
mobilier de mariage afin que la mariée n'oublie pas ses repères essentiels lorsqu'elle suit son mari, c'est un lien sacré avec ses deux familles celle du sang et celle de religion. |
Une étoile à
5 branches pour une famille catholique |
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Une
croix de Malte pour une famille huguenote |
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Une rose des vents , un rameau d'olivier, une colombe, un chardon sont aussi des attributs rencontrés sur les meubles d' huguenots. |
Les cheminées de salon:
Elle pourrait convenir à
un riche viticulteur mais celle-ci se trouve dans le salon du
moulin à
marée, aujourd'hui hôtel restaurant au GUA "Le moulin de Chalons". |
Voici un extrait d'un contrat de mariage établit en 1863 en Saintonge. Il comporte une description des apports de chaque famille ou il apparaît clairement que le cabinet est offert par la famille de la mariée ainsi que le lit à quenouille. Le coffre devait servir probablement de table puisqu'elle n'est pas mentionnée et qu' ils bénéficient de 6 chaises. Chacun apporte une barrique et la mariée deux petits rangs de vigne. (extrait d'un article paru dans la revue AGUIAINE-Le SUBIET N° 265 Mars-Avril 2008) ____________________________________ Le marié _Eugène Pellisson_ est un cultivateur de Saint Simon de Pellouaille(1) et la mariée _ Rosalie Gautier_ mineure, demeurait chez ses parents dans un autre hameau du village. Les frais de notaire se sont élevés à 22,65 francs Le marié a reçu de ses parents: 2 draps de lit 2 nappes 2 essuie-mains 2 chaises en bois blanc 1 bois de lit neuf en bois de cerisier 1 fut de barrique Le tout estimé à 40 francs (plus un lot de terre dont il disposera à la succession de ses parents à savoir 18,5 ares de terres labourables, d'un revenu annuel de 10 francs) La mariée a reçu de ses parents: 1 lit garni et complet qui se compose de son bois en cerisier, de la paillasse, du lit de plume, du traversin, de la couverture en coton blanc, un couvre pieds, des rideaux en siamoise (c'est un lit à baldaquin), du fond de la garniture en camaïeu, des vergettes de fer, le tout estimé à 100 francs 6 chaises en bois de cerisier neuves- 12 francs 1 fut de barrique - 8 francs 4 draps de lit dont deux neufs et 2 demi-neuf - 20 francs 4 nappes 3 essuie-mains un sac -le tout estimé à 6 francs 6 cuillères en étain 6 fourchettes en fer estimées à 2 francs 6 assiettes en terre blanche estimées à 1 franc 1 chaudron en cuivre rouge- 6 francs 1 cabinet en bois de cerisier neuf à une porte avec tiroir en bas estimé à 60 francs 1 coffre en bois de cerisier ancien estimé à 5 francs Total: 220 francs (plus 1 pièce de terre labourable contenant 18,5 ares; 1 pièce de vigne formant 2 rangs contenant 1 are cinquante , d'un revenu annuel de 10 francs) (1) Saint Simon de Pellouaille _ canton de Gémozac_ 17_compte aujourd'hui 370 habitants |
Remerciements:
Bibliographies:
Mobilier régional : Charentes Poitou : Éd. MASSIN
L'ÎLE D'OLERON _
CHARENTE-MARITIME : IMAGES du PATRIMOINE : Édition de L'inventaire du
Ministère de
la
culture
VAL DE LOIRE_VENDEE_POITOU_CHARENTES_BERRY_maisons-meubles-objets : Éditions de l'illustration.
Musées à visiter
Le musée de Saint Jean d'Angély.Le Musée Dupuy Mestreau à SAINTES qui présente un intérieur et des costumes
La maison paysanne à GRAND-VILLAGE (Île d'OLERON)
Le Musée d'art et de traditions populaires à MONTENDRE
L'Ecomusée du cognac à MIGRON.
Le Musée des alambics à SAINT ROMAIN DE BENET
Le musée privé de feu Madame Anne Audier à Sainte Gemme dans le prieuré.
Le Château de LA ROCHE COURBON qui présente un mobilier de châtelain et de paysans aisés dans les pièces hautes.
La crèperie et Musée des grottes de MATATA à MESCHERS-sur-GIRONDE.
SUITE avec l'habitat Saintongeais
Vers " Belle SAINTONGE " |